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🧬 La Galerie de Frankenstein : ce qu’on ne nous dit pas sur la fabrication des vaccins félins et les aspects commerciaux

Depuis des décennies, on nous présente la vaccination comme un acte de protection évident, indiscutable, et sans alternative. Mais derrière cette image rassurante se cache une réalité autrement plus complexe — une Galerie de Frankenstein, où la science moderne manipule la vie dans des conditions que peu de gens soupçonnent.

Comprendre comment ces produits sont fabriqués, c’est déjà reprendre un peu de pouvoir sur ce que l’on injecte à nos animaux, souvent sans en connaître ni l’origine, ni la composition exacte.



⚗️ Des cultures cellulaires issues du vivant


Pour produire un vaccin, il faut un virus. Et pour cultiver ce virus, il faut des cellules vivantes.Les laboratoires utilisent donc des lignées cellulaires animales :

  • cellules de fœtus bovins, félins, canins ou de lapins,

  • reins ou foies d’animaux de laboratoire,

  • voire cellules “immortalisées” à l’aide d’enzymes ou de virus transformants.

Ces lignées, conservées parfois depuis les années 60, servent de “terrain de culture” pour multiplier les virus félins (calicivirus, herpès, panleucopénie, etc.).Ensuite, le virus est soit atténué (affaibli sans être détruit), soit inactivé (tué mais encore reconnaissable par le système immunitaire).

C’est cette matière biologique — ce mélange de cellules vivantes, de virus et de milieux de culture complexes — qui deviendra la base du vaccin.Une base où subsistent souvent des traces d’ADN étranger, de protéines animales et d’agents résiduels invisibles à l’œil nu.


🧪 Adjuvants, conservateurs et résidus


Pour “renforcer” la réponse immunitaire, les laboratoires ajoutent ensuite des adjuvants : sels d’aluminium, lipopolysaccharides, ou autres substances qui créent volontairement une inflammation locale.À cela s’ajoutent des agents conservateurs comme le formaldéhyde, le thimérosal (mercure), ou d’autres stabilisants chimiques.

Le résultat : un cocktail complexe, où virus atténués, fragments cellulaires, métaux et molécules chimiquescohabitent dans une seringue.Un mélange qui n’a plus grand-chose à voir avec la nature originelle du vivant, mais qui continue d’être présenté comme un “acte de santé”.


🧫 Contaminations post-vaccinales : le tabou des laboratoires


De nombreux éleveurs consciencieux ont observé des phénomènes troublants : contaminations survenues après vaccination, sans lien direct avec la réplication virale du vaccin. Dans plusieurs cas, les analyses ont révélé la présence de mycoplasmes, chlamydies, bordetella ou d’autres bactéries opportunistes.

Ces germes, souvent dormants ou discrets, se réveillent dans les jours ou semaines suivant l’injection. Certains chatons jusque-là sains développent alors conjonctivites, écoulements nasaux, toux ou fièvre, parfois en chaîne dans tout l’élevage.


⚙️ Quand la vaccination fragilise le terrain


Ce phénomène s’explique par la biologie du stress immunitaire. Le vaccin, même atténué, provoque une inflammation systémique aiguë :le système immunitaire est mobilisé, les muqueuses deviennent plus perméables, et les bactéries opportunistes déjà présentes profitent de cette “ouverture immunitaire” pour se multiplier.


Cet “effet terrain-affaibli” est bien connu en immunologie intégrative, mais largement ignoré dans les protocoles vétérinaires standards.


🧫 Les cultures vaccinales et le risque de contamination croisée


Il faut aussi savoir que les cultures cellulaires utilisées pour fabriquer les vaccins ne sont jamais totalement stériles.

Des publications vétérinaires ont déjà mis en évidence la présence accidentelle de mycoplasmes, d’ADN étranger, voire de rétrovirus endogènes dans certaines lignées cellulaires.


Une infime contamination suffit à introduire dans le vaccin un agent invisible mais actif biologiquement. Et lorsqu’on injecte ce produit à un chaton dont le système immunitaire est encore immature, le risque de réaction en cascade augmente. Certains éléveurs ont perdus des chatons des suites de vaccination.


🧬 Les essais vaccinaux vétérinaires : une science “sous contrôle” industriel


🎭 Officiellement : oui, des études existent…


Sur le papier, les vaccins vétérinaires (chats, chiens, bovins, etc.) passent par des “études de sécurité et d’efficacité” avant d’obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM).

Ces études peuvent revendiquer une méthodologie en “double aveugle” ou “contrôlée”, mais il faut regarder de très près ce que cela signifie réellement.


  • Les essais sont presque toujours réalisés par le laboratoire fabricant lui-même, ou par des centres qu’il finance.

  • Le “placebo” utilisé n’est pas un vrai placebo physiologique (solution saline stérile), mais le diluant du vaccin contenant déjà tous les excipients et adjuvants… sauf l’antigène viral.


    👉 Cela fausse totalement les comparaisons, car le groupe témoin reçoit quand même les substances potentiellement réactives (hydroxyde d’aluminium, thiomersal, stabilisants, etc.).


  • Le suivi post-injection est très court (souvent quelques jours ou semaines).

  • Et les critères d’évaluation se limitent à :

    • la présence d’anticorps sériques (et non l’immunité réelle),

    • l’absence de réaction aiguë immédiate (sans suivi à long terme).


Donc oui, “techniquement” il y a des essais, mais scientifiquement, ils sont biaisés dans la conception même.


🧫 Chez l’animal, la situation est encore plus opaque que chez l’humain


  • Les agences comme l’EMA (Agence européenne du médicament, section vétérinaire) ou l’USDA (États-Unis) ne publient que des résumés de dossier — les données brutes restent la propriété du fabricant.

  • Les vétérinaires ne disposent que des notices marketing, sans accès aux résultats complets des essais.

  • Et contrairement à la médecine humaine, aucun registre public d’essais cliniques vétérinaires n’existe (comme ClinicalTrials.gov pour les humains).


En clair : la vérification indépendante est quasiment impossible. Le système repose sur la confiance envers l’industrie… et sur des contrôles administratifs internes.


🧩 Un exemple parlant : les vaccins félins


Prenons le cas du PUREVAX RCP, souvent présenté comme “non adjuvanté et sans danger”.

Les études officielles publiées (par Boehringer Ingelheim ou Merial avant lui) ne comparent pas le vaccin à une solution neutre, mais à un autre vaccin adjuvanté.

Résultat : on conclut que PUREVAX “réduit les réactions locales”, ce qui est vrai — mais la comparaison est biaisée, puisque les deux groupes ont reçu des produits stimulants.


Aucune étude publiée en double aveugle contre placebo neutre (solution saline) n’existe à ce jour pour ce vaccin ou ses équivalents.


🔍 Ce qu’on trouve réellement dans la littérature scientifique


  • Des publications d’universités ou de laboratoires montrent des suivis post-vaccinaux de courte durée, mais aucune étude à long terme sur les effets cumulatifs.

  • Les rares études indépendantes (notamment américaines) sur les sarcomes d’injection ou les réactions auto-immunes post-vaccinales ont souvent été financées par des fondations félines privées, pas par l’industrie.

  • Certaines études de l’Université de Purdue ont tenté de démontrer l’impact immunologique global des vaccins… et ont révélé des auto-anticorps apparaissant après vaccinationétudes qui ont ensuite disparu des circuits officiels, comprenant la BOMBE qu'elles représentait !


🧠 Un modèle “auto-validé”


Le système d’évaluation vétérinaire fonctionne en vase clos :

  • Les essais sont faits par ceux qui vendent,

  • Les contrôles sont administratifs,

  • Et les résultats sont publiés de façon sélective.


C’est donc, oui — un modèle structurellement biaisé, comme en médecine humaine, mais avec encore moins de supervision citoyenne et scientifique indépendante.


🧪 Les conflits d’intérêts entre universités vétérinaires et laboratoires


Le monde vétérinaire, comme la médecine humaine, vit au croisement de la science et du commerce.Les universités, en particulier les écoles vétérinaires, dépendent de financements extérieurs pour leurs programmes de recherche, leurs équipements et leurs publications. Et une part importante de ces fonds provient de grands laboratoires pharmaceutiques ou de fabricants d’aliments pour animaux.


Ces partenariats permettent d’avancer sur des projets coûteux, mais ils créent aussi une dépendance subtile :

  • les laboratoires financent des chaires de recherche,

  • sponsorisent des congrès et des formations continues,

  • fournissent gratuitement des produits à tester,

  • et participent parfois à la rédaction des protocoles expérimentaux.


Résultat : difficile pour un enseignant-chercheur de remettre en question un produit ou une pratique issue du même groupe industriel qui soutient financièrement son service.



🎓 Quand l’enseignement devient vitrine commerciale


Dans certaines écoles, les futurs vétérinaires apprennent à soigner à travers des protocoles ou gammes de produits spécifiques.Les marques de vaccins, d’antiparasitaires ou de croquettes sont omniprésentes : logos sur les amphithéâtres, bannières lors des séminaires, manuels de cours co-édités avec les industriels.


Ce modèle normalise une vision de la santé animale centrée sur la dépendance au médicament et au produit fini, plutôt que sur la prévention, la nutrition ou l’immunité naturelle.

Et lorsque quelques enseignants ou praticiens indépendants proposent une approche plus intégrative ou naturopathique, ils se heurtent souvent à un mur institutionnel, voire à du discrédit scientifique.


💰 Un modèle économique verrouillé


Il n’est pas nécessaire d’imaginer une intention cachée : il suffit de constater les incitations économiques. Une université dépendante de financements privés a tout intérêt à ne pas contrarier ses mécènes. Un laboratoire qui investit des millions dans une étude souhaite évidemment que les résultats aillent dans le “bon” sens.


Ce système crée une culture de conformité : les jeunes vétérinaires sortent diplômés en pensant qu’il n’existe qu’une seule façon de soigner, qu’une seule marque de vaccin ou de croquette fiable.

Et ceux qui s’écartent du cadre deviennent minoritaires — voire marginalisés.


🧠La science sous influence


Les conflits d’intérêts ne signifient pas que la science vétérinaire est corrompue, mais qu’elle évolue dans un écosystème où le savoir et le commerce se confondent.

Pour avancer, il faut plus de transparence, plus d’études indépendantes, et surtout plus de diversité d’approches.

Car la véritable rigueur scientifique ne consiste pas à répéter ce que les laboratoires disent, mais à observer, comparer et remettre en question — ce que font déjà, chaque jour, de nombreux éleveurs et praticiens conscients sur le terrain.




🧠 Entre science et conscience


Parler de cela, ce n’est pas être “anti-vaccin”, c’est être pro-transparence. Il ne s’agit pas de rejeter la science, mais d’exiger qu’elle soit éthique, honnête et respectueuse du vivant.

Le monde de l'élévage Félin est en souffrance et il est temps de poser des questions ...


Car la question n’est pas “faut-il vacciner ou non”, mais comment, quand, et avec quoi.

Savoir ce que contient un vaccin, comment il est produit, et quels effets il peut avoir sur le terrain, c’est la base d’une vraie médecine du discernement.


🌿 Le rôle des éleveurs conscients


Les éleveurs qui observent, notent, et témoignent sont aujourd’hui les véritables lanceurs d’alerte du monde animal.

Ce sont eux qui voient les réactions, les patterns, les effets différés, que les études officielles ne documentent jamais.

Et leur expérience mérite d’être entendue.

Le rôle de l’éleveur conscient n’est pas de craindre, mais de comprendre le vivant. De préparer le terrain avant toute vaccination, de soutenir l’immunité après, et surtout de ne jamais perdre de vue que la santé se cultive, elle ne s’injecte pas.


☀️ Conclusion : rallumer la lumière dans la Galerie de Frankenstein


Nos chats, comme nous, vivent à la frontière entre nature et technologie.


Mais tant que la science s’éloignera du respect du vivant, elle ne fera qu’alimenter une illusion de contrôle.

La “Galerie de Frankenstein” n’est pas un mythe : elle existe dans chaque boîte de vaccin produit sur des cellules animales modifiées. Et notre responsabilité est de ramener la lumière là où l’obscurité règne par habitude.

Être éleveur conscient aujourd’hui, c’est choisir de ne plus obéir aveuglément, mais d’observer, d’apprendre, et de protéger le vivant en connaissance de cause.

 
 
 

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