🧬 Vaccinose Transgénérationnelle : Quand les vaccins affectent les générations futures
- Cashmere Bengals
- 9 sept.
- 5 min de lecture
Dernière mise à jour : 10 sept.
Qu’est-ce que la vaccinose transgénérationnelle ?
La vaccinose est un terme ancien, popularisé dès le XIXe siècle par le médecin homéopathe Compton Burnett, pour désigner les effets secondaires à long terme des vaccins sur la santé.
La vaccinose transgénérationnelle, c’est l’idée que ces effets ne s’arrêtent pas à l’individu vacciné, mais peuvent se transmettre à ses descendants, altérant insidieusement la vitalité des générations suivantes.
C’est un phénomène épigénétique, c’est-à-dire que les modifications ne touchent pas les gènes eux-mêmes, mais leur expression : les vaccins, en particulier lorsqu’ils sont nombreux, précoces et répétés, peuvent perturber durablement le système immunitaire, endocrinien ou nerveux — et ces perturbations peuvent être héritées.
Des études émergentes appuient cette observation
Bien qu'encore peu médiatisées et vous imaginez pourquoi, des études vétérinaires récentes sur les chiens et les rongeurs montrent que :
L’injection de certains vaccins perturbe durablement l’immunité,
Des troubles auto-immuns apparaissent chez la descendance même non vaccinée,
Une exposition à des toxines comme l’aluminium ou le thiomersal entraîne des modifications héréditaires du métabolisme.
🧪 En 2014, une étude sur des souris a démontré que l’exposition prénatale à des adjuvants vaccinaux provoquait des altérations neurologiques sur 3 générations, même si les suivantes n’étaient plus exposées directement.
🔬🧬 Ce qu’on sait (et ce qu’on devine) sur l’impact transgénérationnel des vaccins
L’épigénétique au cœur du problème
L’épigénétique est la science qui étudie comment l’environnement, l’alimentation, les stress, les polluants, et les vaccins peuvent modifier l’expression des gènes sans en changer la séquence.
➡️ Cela signifie qu’un vaccin, ou plutôt les adjuvants et les protéines étrangères qu’il contient, peuvent modifier le fonctionnement du système immunitaire, endocrinien ou neurologique d’un individu... mais ces modifications peuvent aussi être transmises à la descendance.
Chez les Sacrés de Birmanie dont j'ai élevé pas moins de 4 générations sous mon ancien affixe, j'avais déja constaté cet affaiblissement au fil des générations sans forcément reconnaitre le coupable - j'ai constaté au fil du temps :
Une baisse de vitalité des chatons au fil des portées, sur des mères pourtant nées chez moi donc je maitrisais la génétique, l'alimentation de qualité ....
Une fragilité digestive croissante (diarrhées chroniques, intolérances),
Des troubles du comportement (chatons plus nerveux, moins stables),
Une sensibilité accrue aux maladies virales ou bactériennes,
💡 Ce n’est pas la race en elle-même qui dégénère, mais les lignées hyper-vaccinées, soumises à un protocole "standardisé" dès la naissance, et souvent combiné à un affaiblissement génétique par consanguinité ou reproduction intensive.
Comment cela se manifeste-t-il dans un élevage ?
Un éleveur attentif, qui suit ses lignées sur plusieurs générations, peut observer :
Une diminution progressive de la vitalité : les chatons tètent mal, se développent lentement, sont très sensibles aux virus bénins…
Une augmentation des allergies, des MICI, des troubles digestifs chroniques, dès les premiers mois de vie.
Des dysfonctionnements hormonaux : chaleurs irrégulières, infertilité, lactation anormale, fausses gestations.
Des cas de thyroïdite auto-immune, de Cushing, ou encore de neuropathies inexpliquées.
Des chatons non vaccinés qui présentent les mêmes symptômes que leurs parents lourdement vaccinés. Il sera alors difficile de faire la part des choses car beaucoup penserons que c'est justement parce qu'ils ne sont pas vaccinés --> et Rien n'est plus faux.
La faute à qui ? Vaccins vivants atténués, adjuvants, multivalents …
La toxicité vaccinale est multifactorielle :
1. Les adjuvants
Aluminium, formaldéhyde, thiomersal (mercure)… Ces substances toxiques sont là pour “stimuler” l’immunité.Mais elles s’accumulent dans l’organisme, parfois dans le foie, le cerveau, ou les tissus glandulaires.
2. Les protéines étrangères
Sérum bovin, cellules animales, levures… Ces protéines injectées peuvent induire des réactions allergiques croisées, voire reprogrammer certaines réponses immunitaires.
3. Le virus lui-même (vivant atténué)
De plus en plus de scientifiques, dont le Pr Didier Raoult, soulèvent un point crucial : les virus vivants atténués peuvent muter dans l’organisme, redevenir actifs ou être excrétés dans l’environnement.
Ces éléments, inoculés directement dans le sang, sont susceptibles de perturber l’équilibre immunitaire et de générer des réponses inappropriées, parfois irréversibles… surtout quand ils sont injectés à répétition.
Pourquoi les lignées félines s’affaiblissent-elles au fil des générations ?
Parce que ce fardeau toxique ne disparaît pas avec la vie de l’animal. Il laisse une empreinte. Une trace silencieuse dans le fonctionnement du corps. Une empreinte épigénétique.
Et cette trace, nous la transmettons sans le savoir à la génération suivante.Dès lors, les chatons ou chiots naissent avec un terrain immunitaire affaibli, des organes déjà sensibles, une capacité d’adaptation diminuée. Il y a 15 ans , j'avais intuitivement constaté ce phénomène chez mes sacrées de Birmanie sur 4 générations pourtant travailler avec soin.
🔁 Les lignées vaccinées « à l’ancienne » (annuelles, multivalents, rage tous les ans…) finissent par produire des chatons plus fragiles, plus sensibles, parfois infertiles, ou dont les réactions post-vaccinales deviennent disproportionnées.
Peut-on réparer les dommages ?
Il est difficile de “réparer” totalement les dégâts d’un terrain vaccinal dégénéré sur une seule génération. Mais on peut agir.
✅ 1. Arrêter les vaccins à virus vivants atténués
Ils sont les plus instables et les plus à risque.Dans notre élevage, nous les avons totalement bannis. Militer pour l'introduction de vaccin tel que BIOFELL largement utiliser dans les pays de l'est et du golf - à virus inactivés.
✅ 2. Espacer ou supprimer les multivalents
Moins c’est mieux. Un seul agent pathogène à la fois, si nécessaire.Et titrer les anticorps avant de revacciner.
✅ 3. Détox vaccinale
Homéopathie (Thuya, Silicea, Lyssinum), drainage du foie, cures de probiotiques naturels, zéolithe, algues détoxifiantes… Chaque geste compte.
✅ 4. Travailler les lignées sur la vitalité
Introduire des sujets sains, peu ou pas vaccinés.Sélectionner non pas seulement le type ou la couleur, mais la résistance, la récupération, la force de vie.
🚨 Une charge virale réintroduite… encore et encore - et en élévage c'est qui le chat se mord la queue !
Vacciner avec des virus vivants atténués, c’est aussi réintroduire régulièrement dans l’organisme du chat et au sein d'un élevage - une charge virale importante, même si cette charge est considérée comme « affaiblie », nous savons aujourd'hui qu'elle mute constament .car un virus mute constament ! À la lumière des recherches récentes, et notamment des travaux de l’IHU Méditerranée Infection dirigé par le Professeur Didier Raoult.
Ce procédé, loin de renforcer durablement l’immunité, sollicite et épuise sans cesse le système immunitaire. C’est aussi un aveu d’échec cuisant : malgré des décennies de vaccination massive en élevage et refuges, aucune des maladies ciblées n’a été éradiquée. Au contraire, elles deviennent de plus en plus difficiles à contrôler, car les souches mutent, les résistances apparaissent, et les organismes fragilisés ne parviennent plus à faire face.
L'élevage félin est devenu l'un des plus difficile sur le plan sanitaire ...
➡️ Affirmer qu’un élevage est "négatif" à la plupart des maladies tout en pratiquant des vaccinations à virus vivants atténués est pour le moins contradictoire. En réalité, nous l'avons vu cette pratique expose les animaux à une charge virale répétée, rendant les résultats de dépistage potentiellement trompeurs. La véritable santé ne se mesure pas uniquement à des tests ponctuels, mais à la cohérence d’un protocole sanitaire global et respectueux du vivant.
Vers un élevage durable et conscient
Il ne s’agit pas ici de “diaboliser” les vaccins, mais de sortir du dogme. Chaque animal est unique. Chaque terrain aussi.Le protocole vaccinal ne peut plus être standardisé, systématique et aveugle. Le travail de restructuration génétique sera long tant l'ignorance des éléveurs est grande et leur soumission à la religion vaccinale et au dieu Pasteur est immense !
La santé ne se mesure pas à un carnet de vaccination rempli,mais à la résistance naturelle de l’animal face à la vie.
✍️ Conclusion
Ce que j’observais intuitivement il y a 15 ans chez mes Sacrés de Birmanie s’est confirmé avec le temps :les lignées fortement vaccinées s’éteignent plus vite.
Aujourd’hui, je choisis un autre chemin. Celui d’un élevage raisonné, respectueux de la vie, de l’immunité, et des générations futures.
Parce que nos choix d’aujourd’hui façonnent la santé de demain.



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